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sible qu’après y avoir fait couler des flots de sang ; les pauvres Turcs, poussés au suprême désespoir, auraient sans doute encore des sursauts d’agonie infiniment redoutables…


P.-S. — On sait que, toujours par hasard, un incendie vient de détruire la partie du palais de Constantinople qu’habitait le sultan.