l’école d’aviation de Sédès, un officier grec, d’extérieur charmant, d’allures aimables, le type du Grec francisé, cultivé d’ailleurs et affectant de nous considérer un peu comme des compatriotes : un ami, quoi ! Il me devait de l’argent. Un beau jour, o e apprend que je vais rentrer en France. J’attendis une semaine et ne revis mon bonhomme qu’auparavant je rencontrais tous les jours. Voulant en avoir le cœur net, je le fis prévenir de mon départ ; il répondit à plusieurs reprises « qu’il me cherchait ». Naturellement, jamais je ne le revis. Par acquit de conscience, je lui écrivis trois fois : pas de réponse.
Comparez, Grec d’élite et Turc du peuple !
Qu’il me tarde que votre livre paraisse ! Ce sera une belle exécution morale des gens qui vous déchirent. Les amis des Turcs, — tous ceux qui les connaissent, — y applaudiront.
Les pachas étaient bons pour nos sœurs pour les enfants. Un leur a dit : « Je fais comme