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LII
QUELQUES TÉMOIGNAGES DE PLUS
J’ai bien hésité à publier les lettres qui suivent. En effet, l’ennemi (arménien ou grec) ne manquera pas de dire : « Eh ! quoi, c’est tout ce qu’il en possède ! » Cependant, les publier toutes, c’eût été rendre ce livre bien long et plus fastidieux encore. Mais peut-être eût-il mieux valu n’en publier aucune (?) Et puis, pourquoi plutôt celle-ci que celle-là ? Combien il était difficile de choisir, puisque toutes étaient belles et se ressemblaient !
Voici d’abord celle d’un officier dont je ne puis pour le moment donner le nom, parce qu’il est encore en service à Constantinople :