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aux malheurs de la Turquie, en en rendant les Français responsables. Chaque pas en avant des Grecs a été exploité par eux, mis au compte de M. Clemenceau, intime ami de M. Venizélos, disent-ils, et apparenté à des familles grecques. Notre Président du Conseil, d’après eux, imposerait ses vues à la Conférence, le Premier anglais, pourtant turcophile, serait obligé de suivre le mouvement. Etc., etc. »