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dans la suite de ma vie — je la remisai pieusement au fond de mon armoire aux jouets, après l’avoir enveloppée d’un papier de soie.

Bonne vieille Suzette, à laquelle je repensais de temps en temps avec mélancolie, je craignais vraiment qu’elle ne fût pas très heureuse au ciel… D’abord à cause de sa coiffe qui ne pouvait manquer de l’inquiéter beaucoup, dans cette région des nuages où il devait y avoir du vent… Et puis, si intimidée sans