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qu’il a fini de cueillir, une gerbe de lilas et de tulipes, toute ruisselante de pluie tiède. Son ravissement n’a pas faibli ; il me fait promettre que je la remeublerai comme autrefois, cette demeure, qu’il y passera ses vacances prochaines et que même nous reviendrons nous y fixer.

Je lui dis oui, comme on dit aux enfants, surtout lorsqu’il s’agit de l’avenir éloigné. Mais,