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ne devait plus être réveillée. Son grand portail cintré, — que j’avais vu reproduit, l’automne dernier, au théâtre, dans « JUDITH RENAUDIN » —, sa petite porte latérale et ses vieux auvents, tout cela est d’un vert délicieusement décoloré, dans la blancheur des couches de chaux qui |’ensevelissent. Elle semble être l’âme de ce vieux petit