Page:Loti - La Maison des aïeules, 1927.djvu/25

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

qui était une exilée de son village d’ici… Et « l’île » avait en ce temps-là pour moi un mystérieux prestige, que rien, sans doute, dans ma promenade de ce jour, ne me rappellera plus…

Mon fils a désiré emmener son domestique et il a aussi recruté en route un de ses grands amis, qu’il a connu naguère matelot, planton à mon service, et qui est maintenant pêcheur sur cette côte. Nous sommes donc quatre à présent, pour ce pèlerinage.