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les ferventes et les grandioses adorations pour les dieux puérils qui l’avaient précédé d’un nombre incalculable de siècles : alors, plus qu’ailleurs, l’esprit s’inquiète du pourquoi de ces grossiers tâtonnements aux origines, de l’inanité primitive des religions, du néant des anciennes prières. Et, dans les magnificences de cette ville de Baal, le cycle de notre pèlerinage se ferme sombrement…