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parlaient de jeter aussi dans la fosse tout le ménage, souillé maintenant de matières immondes : la couverture, les loques de rechange, les petites tasses et la lanterne, jusqu’à la boîte elle-même, prétendant que la peste était dedans.
Oh ! alors Toto-San perdit tout à fait la tête de désespoir, en voyant qu’on allait lui enlever tous ces souvenirs ; épuisé et pleurant, il se coucha dessus pour les défendre.
Mais une autre vieille mendiante qui se rendait à la fête, elle aussi, pour y ramasser des aumônes, s’arrêta et eut pitié de lui : « Je laverai tout ça dans le ruisseau, moi, dit-elle ».
Les gens qui s’étaient attroupés continuèrent donc leur chemin vers