Page:Loti - L’Outrage des Barbares, 1917.djvu/22

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Noyon (Oise). — La cathédrale.
« À Noyon, dans la cathédrale, le Commandement a fait enlever les cloches et les tuyaux du grand orgue ».
(J. O., p. 3059. col. I.)


Noyon (Oise). — Les coffres-forts particuliers, à la banque Brière, ouverts à l’aide d’un chalumeau.
« Comme M. Brière s’étonnait qu’on lui prît jusqu’à ses archives, l’officier auquel il s’adressait et qui se disait délégué de la Trésorerie de Berlin, se borna à lui répondre : « On m’a donné l’ordre de vider les coffres, je vide les coffres. » »
(J. O., p. 3059, col. I.)