Page:Loti - Japoneries d’automne, 1926.djvu/307

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

réelle tout de même, sincère au premier moment, — cette mélancolie qu’on éprouve toujours lorsqu’on a concentré pendant quelques heures toute son attention captivée, toute sa curiosité charmée sur une femme mystérieusement attirante, et qu’il faut se dire que c’est complètement fini dans le présent et dans l’avenir, qu’on ne verra ni ne saura plus rien d’elle, qu’il y a sur son visage un voile baissé pour toujours.

FIN