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rêve d’un retour à Constantinople toujours entravé et n’aboutissant jamais, — ce rêve ne m’est plus revenu depuis que j’ai accompli ce pèlerinage. Et, du côté de l’Orient, tout s’est apaisé encore dans mon souvenir, avec les années qui ont continué de passer…

Ce rêve était sans doute l’appel du cher petit fantôme de là-bas, auquel j’ai répondu et qui ne se renouvelle plus.

FIN