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malheurs, d’effondrements qui les accablaient.


XV


Trois mois d’été sinistres, passés pour eux dans un terrible provisoire. De ces périodes pendant lesquelles on ne se met à rien, on n’a le courage de rien… À quoi bon même entretenir la pauvre chère maison qui allait leur être enlevée…

Les hommes d’affaires allaient et venaient. Elle avait tenté, à sa grande humiliation, des démarches auprès des autres Berny, pour être un peu aidée, pour essayer de garder le nid héréditaire. Mais ils trouvaient, ces cousins riches, que c’était une véritable folie, que ce serait assurer sa ruine plus complète, qu’il fallait vendre, régulariser, en finir… Et elle vendit.

Quand ce fut décidé irrévocablement, la marche des jours sembla se précipiter