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Leurs mains perversement câlines
En servant ont d’heureux hasards
Et leurs bouches rouges de fards
Ont des paroles si félines,

Qu’on est fou de ces libertines
Qui, raillant dans le chaud boudoir
L’entreteneur en habit noir,
Une fois seules, les coquines,
S’entre-baisent en colombines,
Les seins nus devant leur miroir.