C’est bien, sur ma vie, maintenant que vous avez ce chat ! Et cependant, quand les chats arrivent, d’ordinaire, c’est qu’il est l’heure de dîner.
Cinq et trois font huit, et cinq font treize !
Je propose !
Je fais tout !
Je tope et je tiens !
Moi je ne tope pas.
Neuf ! et dix ! et treize !
Bien joué.
Et le courant !
Si le chat courait encore, on ne l’attraperait pas de nouveau.
Dites à votre maître, Tristan, que ces militaires, ces honorables gentilshommes sont venus chez moi à mon insu et à mon grand chagrin ; que je le prie de m’excuser et de venir me voir ce soir.
En attendant nous n’avons rien à la maison pour dîner, et l’heure se passe.
Dieu y pourvoira.
Nous n’habitons pas un couvent pour que Dieu y pourvoie.
Adieu, Tristan.
Ô jeunesse inconsidérée !
Vous m’avez entendue ?
Ma foi ! non.
Dites-lui qu’il vienne ce soir faire la collation, et que je le régalerai de mon mieux.
Je lui conseillerai plutôt de se purger. Oh ! s’il m’avait cru !