Oui, parce que les présents sont les arcs-boutants de l’amour, et que si l’on oublie les arcs-boutants d’un édifice, il ne peut pas s’élever ou il tombe.
Je me conduirai selon votre goût… J’irai vous voir à la nuit.
Vous serez le bienvenu si vous m’apportez des présents. Sinon…
Elle me ferait perdre patience.
Je conçois votre ennui. Laissez-moi donc là cette femme intéressée.
Il m’est impossible, je meurs pour elle.
Comment ! sa cupidité ne vous refroidit pas ?
Hélas ! non. Elle ne m’excite que davantage, et ne m’inspire qu’un plus vif désir de la vaincre.
Cet homme me semble bien.
Avancez donc vers lui et lui parlez.
Les autres sont-ils partis ?
Je ne les aperçois plus.
J’ai idée que cet homme serait un bon poisson avec lequel nous trouverions notre profit.
Abordez-le, et demandez-lui son nom.
Sur ma vie, je n’ai jamais vu un homme aussi parfait. (À Lucindo.) Dieu vous garde, gentilhomme.
Et à vous, madame, qu’il vous donne un riche mari, si vous pouvez disposer encore de votre personne ; et si vous avez un époux, j’envie son bonheur, tout en souhaitant que vous soyez heureuse avec lui. — Que désirez-vous de moi ?
Depuis quand, seigneur cavalier, êtes-vous arrivé ici ?