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PÊCHEURS DE PERLES

ciai trois fois de la main et partis vers mon lit de sangle.

Toujours jouant, toujours dansant, les soldats de Sa Majesté l’iman Ya-Ya se mirent en marche derrière moi. J’étais étendu depuis longtemps que, dans la nuit sans lune, ils dansaient et jouaient toujours, en l’honneur de l’inconnu, presque nu, qu’ils ne savaient d’où venu…