œil. La police prétend que cela ne lui facilite pas beaucoup la tâche. C’est un détail. Celui qui chausserait des bottes d’égoutier pourrait seul s’y promener comme chez lui. Je lui conseillerais toutefois d’ouvrir aussi son parapluie. Souvent une nourriture miraculeuse vous tombe, en effet, des fenêtres dans les bras. C’est un autre détail. Douteux est l’air que l’on y respire. Le « travail » que l’on y fait est invisible. Louches sont les regards que l’on y croise. Le promeneur de ce quartier qui n’a rien à craindre de l’apparition de deux agents en bourgeois se sent tout de suite dépaysé.
On est transporté dans une contrée nouvelle. Les hommes sont en casquette, mais de belles casquettes fraîches et valant cher. Leur linge est fin, leurs habits sont neufs. À ne con-