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IV

CHEZ LE CHINOIS


— Comme c’est curieux, fit Dieudonné, de revivre tout ça, maintenant !

… Nous étions toujours dans ma chambre, à Rio de Janeiro. Porte et fenêtre étaient ouvertes pour établir le courant d’air.

— Vous permettez que je ferme, dit-il. Nous aurons chaud, mais je pourrai parler plus à mon aise.

… Il revint s’asseoir en face de moi…

— Le lendemain, à la nuit, si vous aviez été toujours à Cayenne, vous auriez pu voir un forçat se diriger du côté du canal Laussat… C’était moi.