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Puis, elle nous reconduit à notre cachette. En route, elle nous en montre d’autres, en cas de danger.

— Je vous ferai signe, mais ne venez jamais chez moi tout seuls.

Elle ne craint pas les surveillants chasseurs d’hommes, on les voit venir, mais les Arabes mouchards, qui marchent pieds nus, et que l’administration dresse comme des chiens à dépister les évadés, qui, pour eux, ne sont jamais que des roumis.

— C’est l’époque, dit Dieudonné, où je passais pour mort, à Paris.