On tape les trois coups : second acte.
Le gendarme introduit une nouvelle fois le personnage au palais de justice.
— Quoi ? fait l’article 64, c’est toi ? La loi de 38 t’a mis à la porte ?
— La loi de 38 dit que je ne suis pas un aliéné.
— Elle dit cela ? Attends !
L’article 64 ouvre un tiroir et débouche le pot à colle. — Tourne-toi, dit-elle au personnage.
Sur son dos, elle placarde une affiche où se lit : « Aliéné dit criminel » Signé : Article 64.
— Reconduisez cet homme à la loi de 38, dit l’article au gendarme.
Rideau. Entr’acte.
Cette fois, le gendarme et le personnage profitent de l’entr’acte pour prendre le train. Ils vont retrouver la loi de 38, sise en immeuble appelé asile.
Troisième acte.
La loi de 38 reconnaît le personnage et s’écrie :
— Il ne faudrait pas croire que tu vas plus longtemps te payer ma figure. T’ai-je mis à la porte, oui ou non ? F…-moi le camp !
— Tout doux ! réplique le personnage. Vous m’avez mis à la porte pour une piraterie précédente