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Vraiment, cela passait les bornes. Par le sang de Judas, comme je le haïssais ! Et puis ce nom… Claverhouse ! Quel nom absurde ! Oyez plutôt ! Claverhouse ! Miséricorde divine ! Pourquoi Claverhouse ? Je ne cessais de ressasser cette question. Smith, ou Brown, ou Jones, passe encore ! mais Claverhouse ! Je vous en fais juge. Répétez mentalement ce mot ! Claverhouse ; écoutez-en la résonance ridicule : Claverhouse !

Un homme affublé d’un patronyme pareil mérite-t-il de vivre ? Répondez-moi franchement. Non, n’est-ce pas ? C’est aussi mon opinion.