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LES TEMPS MAUDITS

et, avant de quitter ce monde, je ferai mon devoir en dévoilant la vérité. Mon cher John, à cette heure suprême, je vous demande instamment de rendre publique cette confession. Faites-le sans crainte, vous tenez entre les mains le destin de l’humanité. Que la presse en tire des millions d’exemplaires ; que l’électricité la propage autour du globe ; partout où des hommes se rencontrent et parlent, qu’ils en discutent en frémissant de terreur.

Et alors, quand la Société se sera enfin réveillée, qu’elle se dresse dans toute sa puissance et anéantisse cette abomination.

À vous, pour un long au revoir.

Wade Atsheler.