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Talon de Fer, marchant impassible vers son but, secouant tout le tissu social, émondant les Mercenaires, les castes ouvrières et les services secrets pour en chasser les camarades, punissant, sans haine et sans pitié, acceptant toutes les représailles et remplissant les vides aussi vite qu’ils se produisaient dans sa ligne de combat. Parallèlement, Ernest et les autres chefs travaillaient ferme à réorganiser les forces de la Révolution. On comprendra l’ampleur de cette tâche en tenant compte de…[1]

  1. Ici finit le manuscrit Everhard. Il s’arrête brusquement au milieu d’une phrase. Avis dut être informée de l’arrivée des Mercenaires, puisqu’elle eut le temps de mettre le manuscrit en sûreté avant sa fuite ou sa capture. Il est regrettable qu’elle n’ait pas survécu pour l’achever, sans quoi elle aurait certainement éclairci le mystère qui, depuis sept cents ans, enveloppe l’exécution d’Ernest Everhard.