Page:London - Le Cabaret de la dernière chance, 1974.djvu/9

Cette page n’a pas encore été corrigée

grossièreté de John Barleycorn, comme tant de femmes ont appris à le faire.

— Tu n’es ni alcoolique ni dipsomane ; tu as simplement pris l’habitude de boire ; tu as fini par faire connaissance avec John Barleycorn à force de le coudoyer. Écris tout cela et intitule-le : « Mémoires d’un buveur. »