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Peigne, Johnny Heinhold et d’autres encore, me rapportèrent que le Vieux Griffeur m’avait à la bonne et ne tarissait pas d’éloges sur mon compte. La chose était d’autant plus remarquable qu’on le tenait pour un vieux bougre, sauvage et querelleur, qui n’aimait personne. C’est à la suite d’un de ses tours de Berserker lors d’une bataille avec un adversaire dont il avait labouré la face avec ses ongles, qu’on l’avait surnommé le « Vieux Griffeur ». Si j’entrai dans ses bonnes grâces, il fallait en remercier John Barleycorn.

J’ai simplement voulu montrer, par ce qui précède, comment celui-ci met en jeu tout l’attirail de charmes, séductions et bons offices dont il dispose pour s’attacher ses partisans.