Cette page n’a pas encore été corrigée
CHAPITRE XXXVIII
Les seuls remèdes (Suite.)
C’est grâce à une bonne fortune sans défaillance, à une chance sans pareille, à une veine absolue, crue j’ai pu échapper aux feux de John Barleycorn. Ma vie, ma carrière, ma joie de vivre n’ont pas été détruites : il est vrai qu’elles ont été roussies. Pareilles aux rescapés d’une lutte désespérée, elles ont survécu par miracle et