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çons décidés à suivre leurs instincts aventuriers risquaient de commettre d’énormes sottises, dont ils se mordraient les doigts plus tard, trop heureux, par la suite, de retrouver le giron paternel ? Joë savait, certes, que le monde réserve à tous une rude tâche et d’amères expériences, mais il n’ignorait pas que les jeunes garçons disposent de quelques droits. Il montrerait à son père qu’il était capable de se débrouiller seul et, de toute façon, il écrirait à la maison dès qu’il se sentirait installé dans sa nouvelle existence.