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En réalité, on ne saurait mesurer l’étendue du désastre causé par la migration du peuple du Feu. Je penche à croire que ce phénomène provoqua la destruction de la horde ; cette branche de vie primitive, tendant vers l’humanité, se trouva pourchassée jusqu’au bord de l’océan où elle périt près de la houle mugissante.

Il me reste à expliquer de quelle façon j’ai échappé à cette destruction ; mais n’anticipons pas sur la marche des événements. Je vous raconterai tout cela plus tard.