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TABLE

la Quantité, puiſqu’elles peuvent être repétées auſſi ſouvent. 160. §. 6.
Il faut diſtinguer entre l’idée de l’Infinité de l’Eſpace ou du Nombre, & celle d’un Eſpace ou d’un Nombre infini. 161. §. 7.
Notre Idée de l’Infini eſt fort obſcure. 162. §. 8.
Le Nombre nous fournit les Idées les plus claires que nous puiſſions avoir de l’Infini. 163. §. 9.
Notre Idée de l’Infini eſt une Idée qui groſſit toûjours. 164. §. 12.
Elle eſt en partie poſitive, en partie comparative & en partie négative. 165. §. 15.
Pourquoi certaines gens croyent avoir une idée d’une Durée infinie, & non d’un Eſpace infini. 168. §. 20.
Pourquoi les Diſputes ſur l’Infini ſont ordinairement embarraſſées 169. §. 21. 293 §. 15.
Notre Idée de l’Infinité a ſon origine dans la Senſation & dans la Réflexion. 170. §. 22.
Nous n’avons point d’idée poſitive de l’infini. 164. §. 13. 294. §. 16.
Infinité, pourquoi plus communément attribuée à la Durée qu’à l’Expanſion. 144. §. 4.
Comment nous l’appliquons à Dieu. 158. §. 1.
Comment nous acquerons cette idée. ibid.
L’infinité du Nombre, de la Durée & de l’Eſpace conſiderée en différentes maniéres. 163. §. 10, 11.
Veritez Innées doivent être les prémiéres connuës. 22. §. 26.
Principes innez ſont inutiles ſi les hommes peuvent les ignorer ou les révoquer en doute. 32. §. 13.
Principes innez, que propoſe Mylord Herbert, examinez. 35. §. 15, &c.
Règles de Morale innées ſont inutiles, ſi elles peuvent être effacées ou altérées. 38. §. 20.
Propoſitions innées doivent être diſtinguées des autres par leur clarté & par leur utilité 55. §. 21.
La Doctrine des Principes innez eſt d’une dangereuſe conſéquence 58. §. 24.
Inquiétude détermine ſeule la volonté à une nouvelle action. 191. §. 29. 193. §. 31. 194. §. 33.
Pourquoi elle détermine la Volonté. 196. §. 36, 37.
Cauſes de cette Inquiétude. 209. §. 57, &c.
Inſtant, ce que c’eſt. 136. §. 10.
Intuitif : Connoiſſance intuitive. 432. §. 1.
N’admet aucun doute. 433. §. 4.
Conſtituë notre plus grande certitude. 569. §. 1.
Joye. 177. §. 7.
Jugement, en quoi il conſiſte principalement. 109. §. 2. 530. §. 16.
Faux Jugemens des hommes par rapport au bien & au mal 211. §. 60.
Jugement droit. 543. §. 4.
Une cauſe des faux Jugemens des hommes. 547. §. 3.

L.

LAngages, pourquoi ils changent. 226. §. 7. En quoi conſiſte le Langage. 312. §. 1, 2, 3.
Son uſage. 347. §. 7. Double uſage. 385. §. 1.
Ses Imperfections. 385. §. 1.
L’utilité du Langage detruite par la ſubtilité des Diſputes. 402. §. 10, 11.
En quoi conſiſte la fin du Langage. 409. §. 325. §. 2.
Il n’eſt pas aiſé de remedier à ſes défauts. 413. §. 2.
Il ſeroit néceſſaire de le faire pour philoſopher. ibid. §. 3, 4, 5, 6.
N’employer aucun mot ſans y attacher une idée claire & diſtincte eſt un des remedes aux imperfections du Langage. 416. §. 8, 9.
Se ſervir des mots dans leur uſage propre, autre remede 417. § 11.
Faire connoître le ſens que nous donnons à nos paroles, autre remede. 418. §. 12.
On peut faire connoître le ſens des mots à l’égard des Idées ſimples en montrant ces Idées. 418. §. 13. Dans les Modes mixtes en définiſſant les mots. 419. §. 15. Et dans les Subſtances en montrant les choſes & en définiſſant les noms qu’on leur donne 411. §. 19, 21.
Langage propre. 327. §. 8.
Langage intelligible. ibid.
Liberté, ce que c’eſt. 181. §. 8, 9, 10, 11, 12.
Elle n’appartient pas à la Volonté. 185. §. 14.
La Liberté n’eſt pas contrainte lorſqu’elle eſt déterminée par le reſultat de nos propres déliberations. 203. §. 47, 48, 49, 50.
Elle eſt fondée ſur un pouvoir de ſuſpendre nos deſirs particuliers. ibid. §. 47, 51, 52.
La Liberté n’appartient qu’aux Agents. 187. §. 19.
En quoi elle conſiſte. 191. §. 27.
Libre, juſqu’où un homme eſt libre. 188. §. 21.
L’Homme n’eſt pas libre de vouloir ou de ne pas vouloir. 189. §. 22, 23, 24.
Libre arbitre, la Liberté n’appartient pas à la Volonté. 185. §. 14.
En quoi conſiſte ce qu’on nomme Libre Arbitre. 203. §. 47.
Lieu 121. §. 7, 8.
Uſage du Lieu. 127. §. 9.
Ce n’eſt qu’une poſition relative. 122. §. 10.
On le prend quelquefois pour l’Eſpace que remplit un Corps. ibid.
Le Lieu pris en deux ſens 148, 149. §. 6, 7.
Logique a introduit l’obſcurité dans le Langage. 400. §. 6. Et a arrêté le progrès de la Connoiſſance. ibid. §. 7, &c.
Loi de la Nature généralement reconnue. 27. §. 6.
Il y a une telle Loi, quoi qu’elle ne ſoit pas innée 33. §. 13.