Page:Locke - Essai sur l’entendement humain.djvu/650

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
DES MATIERES

Eſſence, réelle & nominale. 334. §. 15.
La ſuppoſition que les Eſpèces ſont diſtinguées par des Eſſences réelles incomprehenſibles, eſt inutile. 335. §. 17.
L’Eſſence réelle & nominale toûjours la même dans les Idées ſimples & dans les Modes ; & toûjours différentes dans les ſubſtances, 336. §. 18.
Eſſences, comment ingénerables & incorruptibles. 335. §. 19.
Les Eſſences ſpecifiques des Modes mixtes ſont un Ouvrage de l’Homme & comment. 345. §. 4. 5. 6.
Quoi qu’elles ſoient arbitraires elles ne ſont pourtant pas formées au hazard. 346. 347. §. 7.
Eſſences des Modes mixtes pourquoi appellées Notions. 350. §. 12.
Ce que c’est que ces Eſſences. 350. §. 13, 14.
Elles ne se rapportent qu’aux Eſpèces. 354. §.4.
Ce que c’eſt que les Eſſences réelles. 356. §. 6.
Nous ne les connoiſſons pas. 357. §. 9.
Notre Eſſence ſpecifique des Subſtances n’eſt qu’une collection d’Idées ſenſibles. 362. §. 21.
Les Eſſences nominales formées par l’Eſprit. 365. §. 25.
Mais non pas tout-à-fait arbitrairement. 367. §. 28.
Elles ſont differentes en differens hommes. 365. §. 26.
Eſſences nominales des Subſtances comment formées. 367. §. 28, 29. Fort differentes. 370. §. 31.
L’Eſſence des Eſpèces eſt l’idée abſtraite déſignée par un certain nom. 332. §. 12. 362. §. 19.
C’eſt l’Homme qui en eſt l’Auteur. 334. §. 14.
Elle eſt pourtant fondée ſur la convenance des choſes. 333. §. 13.
Les Eſſences réelles ne déterminent pas nos Eſpèces. ibid.
Chaque Idée abſtraite diſtincte, avec un nom, eſt l’eſſence diſtincte d’une Eſpèce diſtincte. 334. §. 14.
Les eſſences réelles des Subſtances ne peuvent être connuës. 484. §. 12.
Eſſentiel, ce que c’eſt, 353, §. 2. 355. §. 5.
Rien n’eſt eſſentiel aux individus. 354. §. 4. Mais aux Eſpèces. 356. §. 6.
Ce que c’eſt qu’une différence eſſentielle. 355. §. 5.
Etenduë, nous n’avons point d’idée diſtincte de la plus grande ou de la plus petite étenduë. 294. §. 16.
L’Etenduë du Corps eſt incomprehenſible. 241. §. 23. &c.
La plupart des denominations priſes du Lieu & de l’Etenduë ſont relatives. 257. §. 5.
L’Etenduë & le corps n’eſt pas la même choſe. 124. §. 16. &c.


La Définition de l’Etenduë ne ſignifie rien. 124. §. 15.
L’Etenduë du Corps & de l’Eſpace comment distinguée. 81. §. 5.
Veritez éternelles. 530. §. 14.
Eternité, d’où vient que nous ſommes ſujets à nous embarraſſer dans nos raiſonnemens ſur l’Eternité. 293, 294. §. 15.
D’où nous vient l’idée de l’Eternité. 143. §. 27.
On démontre que quelque choſe exiſte de toute éternité. 143. §. 27.
Etres : Il n’y en a que de deux ſortes. 515. §. 9.
L’Etre Eternel doit être penſant. ibid.
Evident : Propoſitions évidentes par elles-mêmes, où l’on peut les trouver. 488. §. 4.
Elles n’ont pas beſoin de preuve & n’en reçoivent aucune. 502. §. 19.
Exiſtence, idée qui nous vient par Senſation & par Reflexion. 86. §. 7.
Nous connoiſſons notre propre exiſtence intuitivement. 512. §. 1. Et nous n’en ſaurions douter. 512. §. 2.
L’exiſtence paſſée n’eſt connuë que par le moyen de la Memoire. 528. §. 11.
Expanſion eſt ſans bornes. 146. §. 2.
L’Experience nous aide ſouvent dans des rencontres où nous ne penſons point qu’elle nous ſoit d’aucun ſecours. 100. §. 8.
Extaſe, ce que c’eſt. 173. §. 1.
F.


Facultez de l’Eſprit, les prémiéres exercées. 114. §. 14.


Elles ne ſont que des Puiſſances. 186. §. 17.
Elles n’opérent pas l’une ſur l’autre. 187, 188. §. 18, 20.
Faire, ce que c’eſt. 255. §. 2.
Fauſſeté. 480. §. 9.
Fer, de quelle utilité il eſt au Genre Humain. 536. §. 11.
Figure. 120. §. 5. Elle peut être variée à l’infini. 120. §. 6.
Diſcours figuré, abus du Langage. 412. §. 34.
Fini & infini, Modes de la Quantité. 158. §. 2.
Toutes les Idées poſitives de la Quantité ſont finies. 162. §. 8.
Foi & Opinion, entant que diſtinguées de la connoiſſance, ce que c’eſt. 2. §. 3.
Comment la Foi & la Connoiſſance différent. 544. §. 3.
Ce que c’eſt que la Foi. 555. §. 14.
Elle n’eſt pas oppoſée à la Raiſon 572. §. 24.
La Foi & la Raiſon. 573.
La Foi conſiderée par oppoſition à la Raiſon, ce que c’eſt. ibid. §. 2.
La Foi ne ſauroit nous convaincre de quoi que ce ſoit qui ſoit contraire à notre Raiſon. 576. §. 5, 6, 8.