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cabane ; le frère Augustin du Paz, dans son Histoire généalogique de plusieurs maisons illustres de Bretagne, Paris, Nic. Buon, 1621, in-f° ; Jean le Laboureur, dans son Histoire généalogique de la maison des Budes, Paris, 1656, in-f°, à la suite de l’histoire du maréchal de Guébriant ; le Père Anselme ; Dom Lobineau et Dom Morice, dans les preuves de leurs deux Histoires de Bretagne, contiennent des renseignements précieux ; mais il ne suffiroit pas d’y renvoyer, il est nécessaire de les classer et de les rapprocher.

Et d’abord, le lieu de Latour-Landry, — siège de la famille, et qui, après avoir dû recevoir son nom de son château seigneurial et du nom d’un de ses membres, en est devenu à son tour l’appellation patronymique, — existe encore sous ce nom dans la partie de l’ancien Anjou, limitrophe du Poitou et de la Bretagne, qui forme maintenant le département de Maine-et-Loire. Il se trouve dans le canton de Chemillé, à 27 kil. de Beaupréau, entre Chollet, qui est à 20 kil. de Beaupréau, et Vezins, éloigné de 26 kil. du même endroit. Autrefois, le fief de Latour-Landry étoit « sis et s’étendant sur la paroisse de Saint-Julien de

    la notice manuscrite, dressée par feu messire René de Quatrebarbes, seigneur de la Rongère, et communiquée au mois de mai 1692 par M. le marquis de la Rongère, son fils. Dans l’une, cette mention est de la main de d’Hozier, qui l’a signée, et qui a fait d’évidentes améliorations ; elle est paginée 129 à 156. Comme chacune de ces copies contient des renseignements particuliers, nous désignerons la copie du cabinet d’Hozier, comme étant la plus complète, par Généal. ms. 1 ; et l’autre, qui n’est pas copiée jusqu’au bout, par Généal. ms. 2. Quand nous citerons sans numéros, c’est que le fait se trouve dans les deux.