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tÊti i..- riluosormïg. roslrn- 1-.s - 1"’ ‘f.1"’-. ; ma...., ., = Malgré les vices que nous venons de signaler, et qui ont arrêté son développement, l'economie politique nous présente un certain nombre de lois qui nous paraissent incontestables. A cette catégorie appartient, par exemple, la grande loi sur la population, que Malthus a formulée comme résultat de ses recherches statistiques. Malthus introduisit le premier la population comme le plus important des facteurs purement économiques du progrès social, comme un facteur qui agit déjà aux premières phases de la civilisation, et qui force les sociétés à passer du degré inférieur de développement au degré supérieur, de l'état sauvage à l'état nomade et de l’état nomade à l’état pastoral, en conservant toujours son influence bienfaisante ou nuisible. A cette même catégorie appartiennent également quelques lois sur la valeur, comme celles, par exemple, qui regissent conditions statiques et dynamiques du salaire et de l’intérêt. Les lois sur la production et l’accumulation des richesses sont moins déterminées. Enfin les lois sur la distribution des produits, sur leur circulation et sur leur cousommation, sont complétement différentes et même contradictoires chez les différentes auteurs.

lfecouomiste que nous (‘tudious, eu faisant. la revue critique des travaux de ses prtidéeesseurs, arrive souvent à formuler mieux les lois déjà connues, ‘ à (li-montrer Filiexactitude de certaines autres." et même à en découvrir de nouvellesl’Les reelierches les plus’importantes sont Celles qlu’il a faites sut‘ la valeur’. En ‘moitissant la" ifuteiir, " ("est la mesure du pouvoir de la nature sur l’homme ; et Vutitité. la ‘nnjwtf-ò’du pouvoir de l’homme sur la nature. Il atialvse avec uite grainé finesse toutes les questions relatives au salaire ; à larente du "m1, au capital, au rapport des prix des produits liruts et des produits travailles et aux conditions dynamiques qui [lFÔtllllSOllt dans FÏŒTIIIOIIIÎCÈOCÎHÎO le propres, lïïtat slalionuaire ou la deeailence. lÏlviileinineiit nous ne pouvons. dans cet article, examiner ni même exposer sommairement toutes les propositions que ‘l. Carey ei’oit titre des lois ; aussi avons-nous Finteni lion de revoir flansun gimiu travail tout le liziglig-‘e scientifique de lïf-eonoiiiie politique et de faire un’triafje dans tout cet amas de