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Bodin, commandant d’artillerie, 4e  corps, 1re  division, 2me  brigade.

Boisdenemetz[1], colonel au 135e régiment de ligne, 1er  corps, 2e  division, 2e  brigade.

Bonnet, commandant au 4e  bataillon de marche de chasseurs, 2e  corps, 1re  division 2e  brigade.

Bonroust, colonel au 6e régiment de chasseurs, 3e  corps, 3e  division, 1re  brigade.

Bouché, lieutenant d’état-major général. (Armée de réserve.)

Boudet, lieutenant-colonel chef d’état-major. (Armée de réserve.)

Bouic, capitaine d’état-major, Dupouet.

Boulanger, colonel au 114e régiment de ligne, 2e  corps, 1re  division, 2e  brigade.

Bourcart, chef d’escadron d’état-major général. (Armée de réserve.)

Bourrel, lieutenant-colonel au 40e régiment de marche, 1er  corps, 1re  division, 1re  brigade.
  1. Président du 4e  conseil de guerre de Versailles. C’est à ce Trestaillon Prud’homme qu’on doit ce mot mémorable, à un témoin qui attestait l’honnêteté d’un accusé : « Un honnête homme ! » s’écria Boisdenemetz ; un homme qui, armé d’un fusil et de cartouches, s’enferme dans un fort et soutient une lutte contre des soldats français, n’est pas un honnête homme. » Textuel.

    Ce misérable, émule de Jeffries, se montra si stupidement féroce, que le gouvernement dut le révoquer de ses fonctions.