… Dans l’aimable intimité ils s’amusaient beaucoup de cette défense…
Le Comité Central trouva dans les bureaux de la Guerre et l’Officiel de la Commune publia, le 25 avril, la lettre suivante du commandant supérieur de l’artillerie de l’armée au général Suzane :
« Mon cher Suzane,
« Je n’ai pas trouvé, au nombre des jeunes auxiliaires, votre protégé Hetzel, mais seulement un M. Hessel. Est-ce de celui-là qu’il s’agit ?
« Dites-moi franchement ce que vous désirez et je le ferai. Je le prendrai à mon état-major où il s’embêtera, n’ayant rien à faire, ou bien je l’enverrai au Mont-Valérien, où il courra moins de danger qu’à Paris (ceci pour les parents), et où il aura l’air de tirer le canon en l’air selon la méthode Noël.
« Déboutonnez-vous, la bouche, bien entendu.
« À vous,
Le Noël en question commandait à cette époque le Mont-Valérien.
Ce Guiod valait bien ce Suzane. Sous l’Empire, un