Page:Lirondelle - Le poète Alexis Tolstoï, l’homme et l’œuvre, 1912.djvu/626

Cette page n’a pas encore été corrigée

pas les meilleurs, car votre grand-père, pour qui je n’ai eu que de l’estime, me rendit certainement plus heureuse que je ne l’aurais été avec d’Urfé, qui, après tout, n’était qu’un libertin, ce qui ne m’empêchait pas de le trouver fort aimable.