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La crainte de la mort, – de la disparition complète de sa force humaine — rejetée, on peut engager la lutte avec d’autant plus de force.
D’aucuns nous répondront : « Nous avons horreur du sang versé. — Nous ne voulons pas nous attaquer à cette société, à ces hommes qui nous paraissent inconscients et irresponsables. »
L’objection première n’en est pas une. La lutte ne prend-elle que cette forme ? N’est-elle pas multiple, diverse, et tous les individus qui en ont compris l’utilité ne peuvent-ils pas trouver à s’y employer selon leur tempérament ?
La seconde est trop imprécise. Société, conscience, responsabilité, voilà des mots trop souvent répétés et peu expliqués.