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La mère emmène l’enfant, l’homme n’oublie pas le vieillard, son père.

C’est la fin, c’est la débâcle, c’est la grève… la grève des vivants.



Allons, messieurs les politiciens, voici un nouveau tremplin, jetez-vous en avant, commencez donc la trame de la philosophie douloureuse de cette grève.

Quel va donc être l’interprète de ces souffrants, de ces grévistes fin-de-siècle, fin-des-siècles pour peu que l’endémie se propage ? Qui portera leurs revendications devant la société, à ces lassés de