Page:Leveaux - Le Théâtre de la cour à Compiègne, 1885.djvu/196

Cette page n’a pas encore été corrigée

Le spectacle du mercredi 5 décembre, composé de trois pièces en un acte du Gymnase — les Révoltées — r Amour d’une ingénue — les Jurons de Cadillac — a été agréable et très bien accueilli. Landrol qui possède à merveille l’accent méridional, un peu trop même, vu qu’il est de Marseille, a fort amusé dans les Jurons de Cadillac. C’est un comédien consciencieux et de beaucoup de talent qui, bien qu’aimé du public parisien, n’a pas, à mon avis, la réputation qu’il mérite.

La troisième série d’invités occupait la loge impériale. Je citerai le prince et la princesse de Metternich, le comte de Moltke, lebaron Klékler de Valdegg, le duc et la duchesse d’Albufera, le comte Walewski et la comtesse Walewska, la duchesse