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191. Faustina s’appelait Augusta, comme fille d’Antoninus Pius Augustus.

192. — Annia Cornificia, sœur aînée et unique sœur de Marc Aurèle.

193. — J’ai consulté sur ce passage nos savans les plus ingénieux, qui n’ont pu parvenir à rétablir le texte.

194. Domnula est un terme de tendresse ; et on peut traduire ma petite souveraine. M. Mai avait vu dans ce mot le nom d’une toute petite-fille de Marc Aurèle.

195. — Voir Capitolin in Pio, c. 10, et in Marco, c. 2.

196. C’est-à-dire par rescrit du prince.

197. — Fronton parle d’un discours d’Antonin qui venait sans doute de faire Lucius Vérus prêteur ou consul.

198. — M. Mai a retrouvé un ouvrage περί Υνομών.

199. Gratia, la fille de Fronton.

200. — Son goût pour les lieux communs le reprend ; c’est une flatterie pour Fronton.


FIN DU TOME PREMIER.