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Je finis ici, ma chère Agathe, le tableau de mes prouesses. Je pourrais bien encore le charger de quelques petites anecdotes ; mais ce ne serait répéter que des lieux communs, et tomber dans une monotonie qui ne serait pas supportable. Adieu ma bonne amie, rends-moi tendresse pour tendresse et répète avec moi. Vive le cloître, vive l’amour et ses plaisirs.

Christine.

FIN.