qu’il a toujours tenue ressemble plus à celle d’un soldat que d’un coadjuteur.
Adieu, ma chère maman, je vous embrasse de bon cœur et vous aime tendrement.
(Autographe, Archives impériales d’Autriche. Éd. Arneth, l. c., p. 36, avec fragment de fac-similé à la fin du volume ; Arneth et Geffroy, l. c., I, 171.)
VII.
Je vous prie d’envoyer cette lettre par la poste. Je l’ai bien examinée ; il n’y a rien qu’on n’y puisse lire. Notre malade va assez bien, mais pourtant on le saignera ce soir[1]. Adieu.
(Autographe, Archives impériales d’Autriche ; fac-similé dans Geffroy, Gustave III et la Cour de France, II, 333. Cf. Amateur d’autographes, t. V (1866, numéro du 1er mai), p. 131.)
VIII.
Madame ma très chère mère, j’ai été enchantée de l’arrivée du courrier, son retard ayant commencéà m’inquiéter, M. de Mercy m’a parlé de ce dont Votre Majesté l’a chargé[2] ; je crois qu’il sera content de mes réponses et