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LETTRE TREIZIÈME


et tombe aussitôt en syncope. Je la rappelai à la vie en l’enculant et en lui appliquant de vigoureuses claques sur les fesses.

Destainville s’enfourcha avec Dorothée, elles se frottèrent si fort et si longtemps leurs clitoris l’un contre l’autre, qu’elles finirent par faire couler le sang.

Je socratisai le beau cul de Sainte-Huberti ; la belle Flore se couchant sur son dos, m’ouvrit son con dans lequel j’ensevelis ma langue ; Julie, en dessous de mes couilles, les chatouilla légèrement ; Rosine me poignarda le derrière avec un énorme godmiché, et je branlai Éléonore et Aglaé de chaque main. Le reste de la bande était diposé ainsi qu’il suit : Nanette, dont le con est prodigieusement large, se mit sur le dos ; ses cuisses, relevées sur son ventre, faisaient bâiller ses lèvres qui laissaient à découvert l’orifice du col de la matrice ; Marie, Julienne, Sophie, Rosalba et Mariette lui sucèrent alternativement. Nanette ne put résister longtemps aux assauts réitérés qui lui étaient si délicieusement portés ; elle se raidit, s’allongea et perdit connaissance en jurant comme un charretier et environnée d’une mer de foutre. La voluptueuse Nanette, revenue de sa pâmoison, voulut rendre à ses compagnes