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LETTRE CINQUIÈME


contrer une Messaline ?… et je la déshabillai. Elle usa de la même familiarité ; en un clin d’œil nous voilà comme Adam et Eve lors de leur création. Je la pris aussitôt dans mes bras et la déposai sur le lit ; j’écarte ses cuisses et mets d’abord le nez dans son vagin, pendant que de ma langue j’humecte l’orifice auquel sacrifie un bardache. La gueuse se prête à la position, elle soulève ses reins ; son con vomit le foutre dans mon nez, et son cul en pétant laisse une étroite entrée à ma langue. Je la fais changer de posture, elle se met à genoux. Je braque mon jean-chouart à son péteux et l’y engloutis d’un seul trait. La sagouine jette un cri… mais passant ma main devant elle, je roule mon doigt sur son clitoris et change en langoureux soupirs les cris qu’aurait pu lui occasionner la première douleur ; au bout d’un moment nous déchargeons. Échauffés l’un et l’autre par ce prélude, nous volons à de nouveaux plaisirs et ne les eussions pas interrompus sans la maquerelle, qui vint nous avertir qu’il était l’heure de me retirer si je ne voulais pas passer la nuit. — Et qui t’a dit, toupie, que je ne voulais point passer la nuit ?… et je l’empoignai (c’était la Lévêque), je lui tétai son énorme vagin. Cela lui plut, et comme c’est

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