Page:Lettre de R. Fiset 1885-11-21.djvu/2

Cette page n’a pas encore été corrigée

C'est un grand mouvement auquel je m'avais avec coeur... Vous me connaissez assez pour savoir que je serai toujours sur la bomidre, lorsqu'il s'agira de défendre les nôtres. Je vous serre la main; mes respectueuses amitiés à Mme Desjardins et Croyez-moi toujours Votre tout rivani. A.R. Fiset N.B. J'aurais voulu assister à la grande démonstration à Montréal, mais la chose m'est impossible. Il me semble que l'ont devrait faire toutes les démarches possibles pour que le corps de ce pauvre ami soit reposé à côté des victimes de 1834. J'ai écrit à Mr Riel pour vu que s'apparu à cette demande. Je vois qu'elle me viendra à nos droits. R.F.