affirment la vie et qui garantissent V avenir étaient devenues triomphantes.
- (Ecce Homo, p. 152, 153 et 154.)
Mes ancêtres étaient des gentilshommes polonais. Quand je songe combien de fois il m’est arrivé,- en voyage, de m 7 en- tendre adresser la parole en polonais, même par des Polo- nais, quand je songe combien rarement j’ai été pris pour un Allemand, il pourrait me sembler que je suis seulement moucheté de germanisme.
L’esprit allemand est une indigestion. Il n’arrive à en finir avec rien.
Les Allemands sont incapables de concevoir le sublimé.
Les bêtes à cornes de ma connaissance — il ne s’agit que d’Allemands avec votre permission.
Le pauvre Wagner! Si du moins il était allé parmi tes pourceaux… Mais parmi les Allemands !…
Dans un coin perdu de Bœhmerwald, j’allai porter, comme une maladie, ma mélancolie et mon mépris de l’Allemand.
- (Ecce Homo, p. 25, 44* 55» 80» 107 et 108.)
La lourdeur du savant allemand, son manque de délicatesse sociale… Voulez-vous voir l’âme allemande grande étalée? Jetez un coup d’œil sur le goût allemand, l’art allemand, les mœurs allemandes. Quelle indifférence de rustre à l’égard de toute espèce de « goût ».