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À force d’aimer

première partie

I



Tu sais… Il ne faut plus que je joue avec toi… Germaine non plus. Maman a grondé hier Fräùlein parce qu’elle nous laissait jouer avec un garçon.

— Quelle idée !… Un garçon, au contraire, c’est fort… Ça peut se battre pour les filles… Tu as bien vu hier comme j’ai poussé ce type qui voulait marcher dans le jardin que nous avions fait.