Page:Lessing - Fables, trad. Grétry, 1811.djvu/159

Cette page n’a pas encore été corrigée

LIVRE m. 147 Dit le jeune cerf ; quel repos !.... — Non ; l’homme était le même ; et, dans sa main puissante, Ses flèches quelquefois servaient mieux son attente.

Chaque siècle a ses maux.

10.