Page:Les voyages advantureux de Fernand Mendez Pinto.djvu/13

Cette page a été validée par deux contributeurs.
A
MONSEIGNEVR
LE CARDINAL
DE RICHELIEV.


MONSEIGNEVR, Quand ie ne ſerois point ſi heureux que d’eſtre cogneu de vous, ny d’auoir part à la bien-vueillance qu’il vous a pleu me teſmoigner pluſieurs fois, & à la perſonne du monde à qui i’appartenois de plus prés, deuant que Dieu l’euſt appellée de cette vie, ſi ne laiſſerois-je pas de me ranger touſiours à mon deuoir, & de ſuiure cette forte inclination qui m’attache naturellement à voſtre ſeruice. Mais n’ayant